Le deuil

Un tsunami dans votre vie

Deuil therapie hypnose eft 1

Megan Devine, psychologue et auteure du livre *C'est OK que tu ne sois PAS OK*, y décrit parfaitement cette expérience, après avoir assisté à la noyade de son compagnon. Elle partage des clés pour alléger un peu cette douleur.
Bien souvent, la réalité est plus complexe qu’un simple processus en étapes, comme celui décrit par Elisabeth Kübler-Ross dans Sur le chagrin et sur le deuil. Chaque personne traverse cette épreuve de manière unique, à son propre rythme.

Grâce à ma formation avec le Dr. Philippe Pencalet et David Vigneron, enrichie par de nombreuses lectures, je m'efforce de comprendre profondément ce qui se joue pour chaque personne endeuillée, afin de les accompagner avec compassion et sensibilité.

Les premiers temps du deuil

L'une des plus grandes difficultés dans le deuil est le sentiment d'interdiction de montrer son chagrin.
Trop souvent, les proches et la société ne laissent pas la place à l'expression de la douleur.
Des phrases maladroites ou inappropriées poussent parfois l'endeuillé(e) à se replier sur lui-même.
La première chose à lui dire est : « Vous avez le droit d’être triste, et c’est tout à fait normal ».

 

Le chemin du deuil est unique pour chacun. Certaines personnes reprennent leur vie plus rapidement, tandis que d'autres ont besoin de plus de temps.
Mais une chose est certaine : la vie ne sera plus jamais la même. Il faut apprendre, peu à peu, à vivre avec cette nouvelle réalité.

 

Dans les premiers temps, tout peut sembler dévasté. Le corps, l’esprit, même les gestes les plus simples du quotidien peuvent paraître insurmontables.
Certains ressentent même l'envie de ne plus vivre.
C’est dans ces moments-là qu’il est crucial de trouver, même pour un instant, un petit répit.
Des outils comme la respiration guidée ou l'auto-massage peuvent apporter un soulagement précieux, même s'il est fugace au début.

 

Vers l’acceptation

Après un certain temps, vient l’étape, délicate, de l'acceptation. C'est un processus long et complexe, souvent marqué par des pensées incessantes et des "et si...". Rejouer l’histoire encore et encore épuise.
Au début, l’idée d’accepter la perte est insupportable. Et ce sentiment est normal.

 

Chaque état intérieur nécessite d'être accueilli : la culpabilité, la colère, les remords, la peur de la solitude, parfois même la confusion mentale.
Dans cette phase, l'hypnose ou l'EFT (Technique de Libération Émotionnelle) peuvent offrir un soutien précieux.

Puis vient un moment où il devient possible d'envisager de "dire au revoir" au défunt en séance de thérapie, ou seul avec soi-même selon le cas. C'est un processus la plupart du temps très chargé en émotions et qu'il convient d'accompagner avec bienveillance et délicatesse.

Resteront éternellement dans le coeur les souvenirs avec le défunt, ceux là ne mourront jamais.

 

 

 

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